Vendredi 8 mai 5 08 /05 /Mai 00:12

On ne peut pas dire qu’il y a eu un grand changement dans les tâches ménagères car je l’ai toujours aidée ; elle s’occupe des repas (sauf lorsque Thierry est présent), des courses, de la lessive et du repassage ; je fais le ménage et la vaisselle. Depuis peu, elle ne veut plus laver mes sous-vêtements donc c’est à moi de faire une machine. S’il est un domaine où elle a pris le pouvoir, c’est celui de la télévision. Alors que je l’ai longtemps ennuyée en lui imposant mes programmes, elle m’a expliqué récemment que c’était terminé. Si quelque chose l’intéresse, je n’aurai pas de commentaire à faire ; dans le cas où il n’y a aucun programme qui lui plaît, je devrai lui en proposer un et lui demander la permission de le regarder. Ce fonctionnement est entré en vigueur depuis plusieurs jours et la négociation pour regarder un match de foot me coûte parfois une heure de massage et léchage de pieds.

Pendant les repas, les rôles sont clairs, je dois la servir et être attentif à ses désirs : veiller à ce que son verre ne soit pas vide, lui redonner du pain sans qu’elle n’ait à le demander, amener les plats et débarrasser la table. Elle trouve cela fort agréable et me félicite lorsque je la sers bien.

Par mayhieu
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Vendredi 8 mai 5 08 /05 /Mai 00:10
J’adore la nuit. C’est un moment où je suis proche de Nadine, je sens son odeur, sa chaleur. Je n’ai pas le droit de la toucher, au risque de finir la nuit sur le canapé. Nadine dort en pyjama, probablement une demande de Thierry, elle ne se déshabille plus devant moi ; par contre j’ai droit à un bisou sur la joue avant de se coucher. Parfois, elle pose ses pieds sur les miens, pour se réchauffer en général. Ce simple geste me donne instantanément une érection. Je sais que les choses ne peuvent pas aller plus loin et je me contente de ce contact. Sentir ses pieds nus sur les miens m’excite beaucoup et je suis comblé quand elle me demande de lui réchauffer les pieds avec les mains. Je dois me tenir prêt si elle a besoin de moi dans ce rôle, c’est pourquoi elle me demande de m’endormir après elle et de me réveiller avant. Bien souvent, je passe du temps à la regarder, dans l’ombre, et j’aime sa silhouette, je rêve d’une étreinte qui m’est désormais interdite. Je suis bien conscient qu’elle prend beaucoup plus de plaisir dans les bras de Thierry. Une fois qu’elle est endormie, je vais me mettre tout contre elle, sans la toucher, et je suis bien.
Par mayhieu
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 6 mai 3 06 /05 /Mai 21:51

Dimanche matin, ils sont venus me chercher vers 10 heures ; Thierry m’a serré la main et j’ai du m’agenouiller pour déposer un baiser sur les pieds de mon épouse ; j’ai eu le droit d’enlever le bouchon de champagne avant d’aller prendre un petit déjeuner. En arrivant en bas, j’avais l’impression que tout le monde me regardait. Thierry tenait mon épouse par la taille et je marchais derrière.

Après un quartier libre en fin de matinée et pour le déjeuner, nous avons repris la voiture pour le retour. Pendant le trajet, Thierry m’a interrogé de nouveau. « Es-tu sur d’accepter cette situation, de vouloir rester avec Nadine à qui tu ne feras plus l’amour et que tu devras servir ? » Et de nouveau j’ai répondu « oui ». J’étais forcé d’admettre que j’avais aimé ce qu’ils m’avaient fait subir et ils le savaient ; à aucun moment je n’avais manifesté une quelconque révolte.


Il a ensuite posé la question devant moi à Nadine. « Et toi, est-tu sure que la situation te satisfait ? »

« Sans aucun doute » a-t’elle dit joyeusement, « un mari soumis à la maison et un amant exceptionnel, c’est parfait.


 

La semaine  se passe bien. Nous avons beaucoup discuté avec Nadine et cela m’a fait du bien. Je craignais qu’elle soit forcée par Thierry dans cette démarche de domination mais elle m’a expliqué qu’elle en tirait beaucoup de plaisir. Elle s’est rendu compte de mon penchant pour la soumission alors que son amant représente pour elle l’image de l’homme viril qui la fait fantasmer. Elle peut à la fois assouvir ses envies de défoulement et de domination par rapport à moi et des pulsions érotiques où elle se laisse aller complètement pour satisfaire un homme dominant.


Ses rapports avec moi sont en train de changer, elle intègre ma nature de soumis et me laisse de plus en plus de tâches ménagères. Alors que j’ai des responsabilités à mon travail (je suis cadre dans une PME), c’est avec plaisir que je prends le tablier et que j’obéis à la maison.


Nous n’avons pas vu Thierry de la semaine et les jours passant, Nadine est nerveuse et moins patiente avec moi. Hier, devant la télé, elle espérait un coup de fil de sa part, elle m’a demandé de lui masser les pieds et m’a reproché ma maladresse : « Tu n’es même pas bon à ça ! ». Lorsque nous sommes tous les deux, elle ne m’appelle plus Nicolas ou chéri mais de plus en plus souvent tite couille. Et je suis comblé… .

Par mayhieu
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 3 mai 7 03 /05 /Mai 08:29


                  Voilà une soirée que je ne suis pas prêt d’oublier. Nous sommes partis samedi matin en voiture ; j’étais au volant, mon épouse était à l’arrière avec son amant. Le trajet a duré trois heures pendant lesquelles nous avons parlé de choses et d’autres mais on ne m’a rien dit du programme à venir. Ils sont restés très sages, quelques baisers mais pas plus. Pour le déjeuner, j’ai eu droit à un sandwich dans la voiture car ils ont eu envie d’un peu d’intimité au restaurant. Nous avons ensuite déposé nos bagages dans un petit hôtel près de la porte d’Orléans. Thierry avait réservé deux chambres à des étages différents. La mienne était agréable, des tons de rose, un grand lit, la télévision ; je n’ai pas été autorisé à voir la leur.


En début d’après-midi, mon épouse est venue me dire que j’avais quartier libre jusqu’à 18 heures et que pour la remercier, je devais déposer un baiser sur chacun de ses pieds. Elle n’était pas très à l’aise pour me dire cela et j’ai bien deviné que c’était en fait les consignes de Thierry. Je l’ai déchaussée et j’ai embrassé tendrement chaque pied. De la manière dont elle a dit « encore ! », j’ai vu qu’elle prenait plaisir à me dominer comme cela. Elle n’a pas voulu me dire en détail ce qu’ils allaient faire cet après-midi mais comme je la sentais moins souriante que pendant le trajet je lui ai demandé si cela allait : « Je suis un peu anxieuse, nous allons passer l’après-midi dans un club coquin avec Thierry et je ne sais pas bien ce qui m’attend ». Reprenant mon rôle de mari, je lui ai dis que rien ne l’obligeait à y aller si elle ne le souhaitait pas. Elle a pris ma main et, soulevant sa jupe, l’a posée sur sa culotte : pas de doute possible, elle était anxieuse mais elle avait envie. J’ai eu droit à une bise sur la joue et elle m’a laissé en me disant que Thierry avait prévu une soirée qui comblerait ma nouvelle situation de soumis.


J’ai marché tout l’après-midi dans Paris, un peu au hasard, sur les bords de Seine, sans profiter pleinement du paysage, l’esprit ailleurs ; j’imaginais mon épouse dans les bras de nombreux hommes, délires érotiques où mon imagination et mes fantasmes dépassaient sans doute de loin la réalité. Et puis moi ; quel serait mon sort ce soir ? Depuis plusieurs semaines, Thierry incitait ma femme à m’humilier chaque fois un peu plus et il lui faisait bien remarquer comme j’aimais ça. Prendrait-il lui-même les choses en main ? Assisterais-je enfin à leurs ébats ? Je suis passé devant la Tour Eiffel sans m’en rendre compte, j’ai du revenir sur mes pas pour contempler le monument incontournable. Vers 17 heures, j’ai commencé à me rapprocher de l’hôtel et j’ai senti mon cœur battre très fort.


De retour dans ma chambre, je me suis allongé sur le lit et j’ai attendu.

Thierry et Nadine sont arrivés peu après. Mon épouse était radieuse. Son après-midi avait été bonne visiblement. Ils m’ont dit avoir beaucoup marché eux aussi. Nadine a ôté ses chaussures et ses bas et m’a demandé de lui masser les pieds. Je me suis exécuté ; elle s’est assise sur le bord du lit et je me suis mis à genoux sur la moquette. De ma position, j’ai osé quelques coups d’œil sous la jupe et j’ai pu voir qu’elle n’avait plus de string. Thierry qui était vigilant m’a repoussé du pied, il m’a ordonné de baisser les yeux devant mon épouse puis il m’a dit : « c’est ça que tu cherches ? lèche ! ». Il a sorti le string de sa poche et m’a ordonné de le nettoyer avec la langue. Je me suis régalé ; j’ai reconnu l’odeur intime de ma femme que je n’avais plus sentie depuis longtemps. Comme je m’appliquais, Thierry a poursuivi : « Chérie, regarde comme il est content, on a bien fait de l’emmener ta lopette de mari» ; et mon épouse d’ajouter : « oui chéri, j’ai passé le plus bel après-midi de ma vie et je pense que lui aussi ».


Peu avant le repas, Nadine m’a annoncé le programme de la soirée. J’avais le choix entre un nouveau quartier libre ou une soirée dans leur chambre dans le rôle de table de nuit.

J’avais 30 secondes pour me décider. Je ne m’explique pas ce qui m’attirait à ce point vers une situation qui allait sans doute me faire souffrir mais je n’imaginais pas un instant choisir le quartier libre. Je voulais être auprès de mon épouse et j’avais envie de partager ce nouveau bonheur qu’elle découvrait.

A la fin des trente secondes, mon épouse m’a attrapé les cheveux, ce qui m’a surpris : « alors tite couille, on n’a pas toute la nuit, tu as fait ton choix ? ». J’ai ressenti une pression forte sur la poitrine, comme du trac intense, un frisson de  bien-être aussi : jamais elle ne m’avait parlé de la sorte. Le qualificatif de tite couille datait d’un mois environ mais à l’époque c’était dit de manière affectueuse lorsqu’elle me masturbait ; mais là, d’un coup, j’étais devenu tite couille, un sous-homme soumis à sa femme et son amant. Sans attendre j’ai répondu « table de nuit ».


Heureux comme s’ils sortaient de chez IKEA, le couple d’amant est allé installer immédiatement son nouveau mobilier ; pour moi il n’y aurait pas de repas du soir. Thierry avait tout prévu.


Avant de pénétrer dans leur chambre, un foulard noir épais m’a été posé autour des yeux. Nadine m’a pris par la main et m’a conduit à la tête du lit. Ils m’ont déshabillé et fait mettre à genoux ; une paire de menottes a relié mes deux chevilles, une autre paire mes deux poignets. Nadine m’a mis un baillon en forme de boule dans la bouche.


 Je me suis retrouvé en position, les pieds passant sous le lit, à genoux, l’épaule appuyée contre le mur sur la gauche, le ventre posé sur la vraie table de nuit pour que la position soit moins douloureuse. Sur mon dos nu, Thierry a posé un cendrier, une boite de mouchoirs et une lampe de chevet. Ils se sont changés pour aller diner.  De temps en temps, Nadine avait une caresse pour moi, peut-être culpabilisait-elle. Thierry en profitait pour enfoncer le clou me faisant dire que j’aimais ma condition de soumis à mon épouse et que j’en voulais plus encore.


Ils sont partis manger après m’avoir dit qu’au moindre objet renversé, ils me renverraient aussitôt dans ma chambre. Je regrette de ne pas avoir pu voir la tenue de mon épouse, il lui a dit qu’elle était sublime. Je ne sais pas combien de temps a duré le repas, j’ai trouvé le temps très long (et douloureux pour les genoux).


La première personne à rentrer dans la chambre n’a pas dit un mot ; j’ai senti un objet lourd et gelé se poser sur mon dos (j’apprendrai après qu’il s’agissait d’un seau à champagne) puis cette personne est ressortie aussitôt. J’ai été horrifié à l’idée qu’il pouvait s’agir d’une personne de l’hôtel mais qui était visiblement au courant du relooking récent de la pièce.


Peu de temps après, j’ai entendu la voix de Nadine dans le couloir, cela m’a fait du bien et j’ai rebandé instantanément. Au ton de sa voix, j’avais la certitude que le repas avait été bien arrosé. J’ai reconnu la voix de Thierry et un autre homme était avec eux. Ce dernier connaissait la situation car il n’a fait aucune remarque me concernant. C’est étonnant comme on développe tous les autres sens dès qu’on n’a plus la vue, j’étais attentif aux bruits, aux odeurs, je les sentais me frôler.


 Comme on le fait sur une table de chevet, Thierry a jeté les clés de la chambre sur mon dos, il a allumé la lampe de chevet et a enlevé le seau à champagne qui me pesait et qui m’avait donné mal à la gorge tant il était gelé. Tout en parlant du tournedos qui était succulent, du dessert un peu lourd, la bouteille de champagne a été ouverte. Ils ont enlevé leurs chaussures et me les ont collées sous le nez. J’entendais surtout Nadine et Thierry, moins l’autre homme qu’ils appelaient Maxime. A la voix de ce dernier, je l’imaginais assez mur, la cinquantaine peut-être.


Personne ne s’occupait de moi, je n’avais pas plus d’importance que la table de chevet d’une chambre. Ils ont bu en  échangea les banalités habituelles sur Paris, que c’était vraiment magnifique mais qu’il ne faut pas y vivre, que personne ne respecte les feux rouges, qu’on se demande comment les vélib ne disparaissent pas plus … .


Puis on est entré dans le vif du sujet. Thierry a pris la parole.


« Ma chérie, ce soir tu es la star, je t’ai acheté une tenue pour l’occasion, Maxime est là pour une séance photo et si tu nous offres un strip tease, nous ferons de notre mieux pour te remercier comme il se doit ».


Nadine qui avait décidément bien bu a répondu :


« Eh bien les mecs il va falloir être en forme parce que j’ai le feu ce soir » , elle rigolait toute seule.


Pendant qu’elle se préparait dans la salle de bains, Thierry a pris plaisir à m’humilier en parlant de moi comme si je n’étais pas là :


« Nadine est une femme super ; tu verras, elle aime tout et elle se rattrape de plusieurs années d’insatisfaction. Elle tient à son mari mais elle m’a dit n’avoir  jamais pris son pied au lit avec lui ».


 « Et elle reste avec lui ?» a demandé Maxime.


« Elle l’aime bien, il est gentil, il ramène de l’argent alors elle s’est adapté »


« Tu es son amant depuis longtemps ? »


« Plus d’un an » a répondu Thierry « mais elle avait eu auparavant deux aventures et un amant régulier pendant sept mois ».


J’ai cru que j’allais m’effondrer ; je ne m’étais rendu compte de rien ; étais-ce vrai ou une provocation dans le but de m’humilier. Il a enchaîné :


« Pour nous il est au courant et il accepte bien la situation, c’est un cocu content ; tu sais comment l’appelle Nadine ? Tite couille ! » J’espère qu’elle en fera son esclave et qu’elle prendra un peu plus de bon temps à l’avenir.


J’avais très mal aux genoux et aux épaules, je me souviens avoir pleuré mais à aucun moment je n’ai perdu mon érection. Lorsque mon épouse est ressortie de la salle de bain, ils ont sifflé tous les deux. Elle a demandé à Thierry de l’aider à attacher la guépière ; il a proposé à Maxime de le faire. Ce dernier ne s’est pas fait prier. J’aurais donné cher pour voir la tenue de ma femme. Je savais que ce ne serait pas pour moi, deux autres allaient en profiter.


Ils ont mis une chaine musicale et le strip-tease a commencé. Les deux hommes étaient assis sur le lit et profitaient du spectacle en faisant des commentaires. Maxime l’a félicité pour la taille de ses seins puis sur son pubis rasé. J’entendais régulièrement le bruit de l’appareil photo. J’espère que je verrai un jour ces photos. Maxime était le plus proche de moi. Nadine s’est approchée de lui, au bord du lit, sans doute pour lui permettre de faire des gros plans. J’ai senti son pied se poser sur mon dos. J’étais forcément sur les photos, Maxime était face à mes fesses.


Thierry est venu la rejoindre et a commencé à la caresser. Maxime lui demandait « écarte un peu ses lèvres » ; puis il prenait une nouvelle photo. Le photographe s’est ensuite adressé à mon épouse : « vas-y ma belle, déshabille ton amant, montre lui que tu veux te faire baiser ». Je sentais les mouvements  juste à côté de moi. Thierry m’a soudain attrapé les cheveux pour me faire relever la tête puis il a déposé ses vêtements dessus ; il m’a enfilé son slip sur la tête puis a posé le pantalon, sa chemise et sa veste. Il m’a mis un petit coup sur les fesses avec sa ceinture.


Les deux amants étaient nus à présent. Maxime dirigeait les opérations l’appareil photo à la main : « suce le bien, tu aimes sa grosse queue ? ».


« Ouiii gloussait Nadine, surtout ses grosses bourses ».

Je pense que mon surnom de tite-couille vient de là ; j’ai toujours eu des bourses peu volumineuses et Nadine m’avait dit être un peu frustrée de ne pas avoir le plaisir de prendre en main des bourses bien pleine. Thierry en tout cas avait l’air de combler ce manque.


 La fellation a duré quelques minutes. Thierry a prévenu qu’il allait jouir, il s’est tourné vers moi et j’ai senti son sperme chaud sur mes fesses. J’en ai conclu que Nadine ne souhaitait pas avoir de sperme dans la bouche, c’était déjà le cas lorsque j’étais son partenaire. Là encore, j’ai entendu Maxime mitrailler en rafale, sans doute mon postérieur.


Après une nouvelle coupe de champagne, mon épouse s’est allongée sur le lit et à invité Thierry entre ses cuisses. Il lui a bouffé la chatte et j’ai entendu Nadine jouir comme jamais avec moi. J’ai toujours été maladroit dans mes cunnilingus, trop impatient, trop brusque ou pas assez. Je le regrettais aujourd’hui en constatant dans quel état cela pouvait la mettre. Elle avait choisi un amant remarquable et j’étais parfait dans le rôle de table de nuit.


Puis il l’a pénétrée. Nadine semblait éprouver un grand bien-être, loin de la violence de son précédent orgasme ; elle ronronnait de bonheur en demandant à son amant de prolonger ce va-et-vient : « C’est bon, …, oui, encore,…, ne t’arrête pas ». Maxime était au spectacle, il prenait toujours des photos. Au bout d’un moment, des bruits de sucion m’ont indiqué que Maxime avait sorti son sexe et que Nadine était en train de le sucer. Des gémissements m’ont confirmé cette crainte. Nadine s’occupait des deux hommes. J’ai éjaculé.


Pendant plus d’une heure je pense, ils se sont succédés, prenant ma femme à tour de rôle ; lorsque Maxime faisait l’amour à ma femme, Thierry fumait une cigarette, laissant parfois échapper des cendre brûlantes à côté du cendrier, sur mon dos (volontairement ?). Lorsque Maxime avait terminé, il venait déposer son préservatif visqueux sur la table de nuit. J’avais, par moment, du sperme froid qui me coulait le long des côtes. J’ai entendu jouir mon épouse à de nombreuses reprises. La pièce commençait à sentir la transpiration.


Mon épouse était inépuisable ; je me souviens qu’elle me demandait parfois de me dépêcher de finir quand je lui faisais l’amour et que je prenais trop mon temps. Ce soir elle en redemandait sans cesse.


Lorsqu’elle est enfin partie se doucher, Maxime l’a accompagnée. Thierry, resté dans la chambre, s’est occupé de moi. Il m’a enfoncé le bouchon de champagne dans l’anus. J’avais une telle excitation que c’est rentré tout seul. La tête du bouchon était à l’intérieur et la base à l’extérieur ; dès leur retour, il s’est vanté de son exploit :


« La poignée de la table de nuit était tombé, je l’ai remise en place ».


Nadine a ajouté : « Oui, c’est beaucoup mieux comme ça ». Maxime a repris son appareil photo.


Peu de temps après, Maxime s’est rhabillé, il les a salués et il est parti. Thierry est alors venu vers moi, il a débarrassé mon dos et m’a enlevé les menottes et le baillon. Il m’a laissé le foulard, si bien qu’a aucun moment je n’ai pu voir le couple et leur chambre.


Constatant que j’avais éjaculé sous moi, Thierry m’a dit que je le décevais et qu’il allait falloir que je les implore pour avoir de nouveau ma place dans leur chambre.


« Nicolas, avais-tu déjà entendu Nadine prendre son pied comme ce soir ? »


« Non » étais-je forcé de répondre.


« Le seul plaisir que tu lui donneras désormais, c’est en t’occupant de ses pieds avec ta langue ; tu ne mérites pas plus que çà et elle mérite bien mieux que toi ».


Nadine s’est approché et a descendu ma tête jusqu’à ses pieds : " on va te ramener dans ta chambre, tu vas te laver et aller dormir un peu. Nous sortons en boîte avec Thierry et je pense que j’aurai bien besoin d’un massage de pieds vers deux ou trois heures du matin ».


Thierry a ajouté : « Au fait, tu gardes le bouchon de champagne cette nuit, je te l’enlèverai demain matin ».


Ils m’ont enfilé un peignoir et je suis sorti de la chambre pouvant enfin enlever ce foulard. De retour dans ma chambre, je me suis précipité aux WC, cela faisait une heure que j’avais très envie d’uriner.


La soirée avait laissé des traces en moi : des genoux presque en sang, des douleurs aux chevilles et une grande excitation. Je me suis beaucoup masturbé avant de m’endormir, le bouchon dans l’anus me procurant beaucoup de plaisir.

Ils ne sont pas venus me réveiller dans la nuit et je n’ai rien su de leur soirée.
Par mayhieu
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Samedi 2 mai 6 02 /05 /Mai 09:15

Thierry a réussi à se libérer ce week-end. Mon épouse est rayonnante, enfin deux jours de suite avec son amant qu’ils souhaitent passer à Paris. A ma grande surprise, elle m’a annoncé ce matin que nous allions partir à trois. Bien entendu, deux chambres d’hôtel seront réservées, une pour eux et une pour moi. Je lui ai demandé la raison de ma présence à leurs côtés, elle m’a répondu « surprise ! ».

Par mayhieu
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Vendredi 1 mai 5 01 /05 /Mai 00:38

Cela fait trois ans que je ne satisfais plus Nadine, mon épouse de 37 ans, et un an que je ne la touche plus ; après dix ans de mariage, notre relation a changé de nature lors d’une soirée chez des amis où elle a rencontré un homme qui est devenu son amant. Depuis ce jour, elle m’a fait comprendre qu’elle ne m’appartenait plus et que son corps était devenu la propriété de Thierry.


Ce dernier en dispose donc à sa convenance et il a marqué son territoire en lui imposant un tatouage sur chaque sein et un piercing au niveau du clitoris.


Au fur et à mesure qu’elle s’est abandonnée à cet homme marié, elle m’a soumis à ses envies, ce qui lui permet d’être disponible pour lui dès qu’il a une disponibilité. Il n’est pas rare qu’après s’être disputé avec son épouse, il vienne passer la nuit à la maison ; je lui cède alors ma place dans le lit conjugal et rejoins le canapé du salon.


J’ai toujours été par nature assez soumis; elle n’a donc eu aucun scrupule à me présenter très vite son amant aussitôt après leur rencontre. Un peu éméché, je ne m’étais pas rendu compte le soir même qu’elle s’était isolé un moment et avait quitté la soirée avec lui pour aller faire l’amour dans sa voiture. Dès le lendemain elle m’a raconté ce moment en détail et m’a demandé ce que je ressentais. Alors que je lui expliquais que c’était douloureux pour moi, elle a mis la main sur ma braguette ;  en un instant elle avait tout compris ! Bien sur j’avais mal, mais quelle excitation aussi ! Peu de temps après elle l’a invité à la maison et me l’a présenté. Elle l’avait mis au courant de la situation et il n’a ressenti aucune gêne. Le couple c’était eux : tendres baisers, mains balladeuses, mots doux dans l’oreille ; ils se sont assis côte à côte pendant le repas et j’ai vu leurs mains disparaître sous la table à plusieurs reprises. Curieusement je le trouvais sympathique et nous avions une discussion amicale, je n’arrivais pas à le considérer comme un rival.


Nadine a cru bon de m’expliquer très vite la situation :

« tu vois, Nicolas, je tiens plus que tout à notre mariage mais j’ai besoin de Thierry ; si tu acceptes la situation, notre couple n’est pas en danger mais je comprendrais que tu demandes le divorce ».

Il n’était pas question de ça, je ne l’imaginais même pas. J’ai répondu un timide « si tu en as besoin… ».

Sentant que j’allais accepter, elle a enchaîné plus fermement : «Il faut que tu comprennes bien avant de te décider : je suis maintenant avec Thierry, et je refuse la moindre crise de jalousie ».


Puis elle m’a demandé de me déshabiller et de me mettre debout contre un mur ; elle a ensuite amoureusement déshabillé Thierry et il est venu se positionner à côté de moi. La situation était claire : certes son sexe était bien plus gros (mais le mien n’est pas ridicule) mais j’ai tout de suite compris que son torse musclé et imberbe l’avait fait craquer ; plus grand que moi, il avait un corps d’athlète, le rêve pour une femme.


« Maintenant dis-moi Nicolas, si tu étais à ma place, lequel des deux voudrais-tu dans ton lit ? » 

Là encore je n’ai pas trouvé la force de me défendre et j’ai répondu « Thierry ». Je venais d’accepter la situation.

« Alors pour toi ce sera abstinence et obéissance, parfois un câlin avec préservatif, c’est tout ».


Après m’avoir redemandé si j’étais sur d’accepter la situation, ils sont partis vers la chambre, comme s’ils voulaient me tester sans attendre, en me laissant débarrasser la table et faire la vaisselle. Ce soir là je me suis rendu compte de ma nature de soumis : je me suis collé à la porte pour les entendre faire l’amour et après son départ, j’ai vite rejoint le lit pour m’imprégner des odeurs et embrasser tendrement les pieds de mon épouse.


Pendant plusieurs mois, elle a accepté que nous fassions l’amour de temps en temps puis Thierry n’a plus voulu. Depuis un an environ, je ne la touche plus. Par contre elle s’occupe de moi et consacre chaque semaine une dizaine de minutes à me masturber. J’aime ce moment car c’est le seul moment où je sens sa main sur moi : je suis debout, elle attrape mon sexe et le masturbe de manière rapide et régulière jusqu’à l’éjaculation. Le simple contact de sa main me raidit, elle ne se déshabille pas je n’ai pas le droit de la toucher.

Il faut dire que nos rapports sont très codifiés, je sais ce que j’ai le droit de faire et ce qui m’est interdit. Le seul contact qu’elle m’autorise est de poser mes mains sur sa taille pour l’embrasser dans le coup et de lui effleurer rapidement sur les lèvres lorsque nous sommes en famille. Ces moments de tendresse comptent néanmoins beaucoup pour moi, et j’ai beaucoup souffert lorsque j’en ai été privé trois mois après avoir été surpris en train de me masturber.

La masturbation est un problème ; je n’ai pas le droit de le faire mais elle sait que j’aime ça. Elle a trouvé la solution : « Tu vas écrire un journal intime et tu n’auras le droit de te masturber qu’en racontant ton plaisir d’être soumis ».


En ce qui concerne Thierry, il est chez lui à la maison ; lorsqu’il vient, je dois m’effacer aussitôt et, quand on me le demande être à leur disposition.  Nadine, qui est d’ordinaire assez négligée, s’enferme une demi-heure dans la salle de bain avant son arrivée et elle en ressort transformée, élégante et sexy pour son amant. J’aime beaucoup ces situations où, je pense qu’elle le sait, je colle mon œil au trou de la serrure. Je profite alors de sa nudité mais il y a une porte entre nous. Elle se douche, se rase les jambes et la chatte, elle met des bas, parfois un string, parfois rien, un soutien-gorge à balconnet, jupe, talons, chemisier. Puis elle se sèche les cheveux et se maquille. Depuis peu, avant de sortir de la salle de bain, je la vois s’enfoncer un petit plug dans l’anus, elle a donc découvert la sodomie avec Thierry.


A la maison, je dois assumer les tâches ménagères quand il est là car elle veut être entièrement disponible pour lui. Je prépare le repas et range la maison. Ils m’autorisent parfois à rester avec eux et lorsqu’ils ont envie d’être seuls, je dois aller au cinéma ou dans la voiture et ils me fixent une heure de retour.  Je pense que ces soirées sont assez chaudes car il m’est arrivé de retrouver des préservatifs pleins dans la poubelle de la maison or Thierry n’en met pas quand il est avec elle. Pas plus tard que la semaine dernière, il y avait 4 verres dans l’évier quand je suis rentré. Imaginer que ma femme a plusieurs partenaires me rend fou d’excitation mais elle refuse de m’en parler.


De manière générale, ils m’associent peu à leurs ébats sans pour autant se cacher : je n’ai pas le droit de rentrer dans la chambre et je dois là aussi me contenter du trou de la serrure ; par contre, alors que nous sommes parfois tous les trois sur le canapé à regarder les informations à la télé (Thierry et moi assis à chaque bout du canapé, Nadine allongée, la tête sur ses jambes, les pieds sur les miennes), elle n’hésite pas faire une fellation à son amant pendant que je lui caresse tendrement les pieds.


 Elle ne me raconte pas ce qu’ils font au lit et n’accepte pas de questions. Je pense qu’elle s’amuse à me laisser reconstituer un puzzle qui me fait fantasmer. Et cela marche : combien de fois j’ai fouillé les poubelles en quête d’indices sur leurs soirées ! Je vais jusqu’à sentir le sperme restant dans les préservatifs pour savoir combien de partenaires  ont pénétré mon épouse. Elle a l’air très  heureuse depuis que Thierry s’occupe d’elle.


Thierry est d’un tempérament dominateur et bien que nous nous entendions plutôt bien, il souhaite que Nadine intensifie sa domination sur moi.

Par mayhieu
Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires

Présentation

Texte Libre

Recherche

Derniers Commentaires

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés