Mercredi 13 janvier 3 13 /01 /Jan 21:55
Ma séance de lundi m’a de nouveau procuré beaucoup de sensations.

Ma relation avec Nadine est en train de changer ; ma femme a bien décidé de s’occuper de moi mais pas uniquement pour me soulager : encouragée par Thierry, elle fait des expériences destinées à m’humilier ou a accentuer mon côté soumis.

Certains d’entre vous me conseillent de laisser tomber cette vie. Je comprends ces conseils mais à aucun moment je ne l’envisage. Ma femme est si fascinante pour moi que je n’imagine pas de la voir loin de moi ; de plus, je suis bien obligé de reconnaître que j’aime ce qu’elle me fait subir. Du moment qu’elle passe un peu de temps à s’occuper de moi, je suis prêt à finir ma vie à ses côtés même si je dois me contenter de lui masser les pieds. Je sais qu’elle prend son plaisir avec Thierry, elle le dit assez ; je sais qu’elle se donne à plusieurs hommes de temps en temps et elle semble en tirer une vraie jouissance ; je sais aussi qu’elle a eu une relation avec un de mes collègues de boulot, rencontré cet été sur la plage, dans le seul but de faire courir des bruits dans mon entreprise. Elle n’hésite pas à afficher sa domination, j’ai de moins en moins peur de dévoiler ma soumission.

 A aucun moment Nadine ne m’impose les choses et elle le dit clairement : « Soit tu acceptes cette situation et tu n’as rien à dire, soit tu t’en vas, je le comprendrais, et c’est le divorce ».

Ce week-end, ma femme et son amant sont sortis ; je n’ai rien su de leur soirée mais j’ai eu droit à lui faire la toilette intime à deux heures du matin ; son sexe et son anus étaient très rouges et beaucoup d’odeurs s’en dégageaient. J’ai essayé d’apaiser toute cette zone qui visiblement venait de subir un traitement vigoureux. Elle m’a remercié puis est allée dormir avec Thierry.

Je pense que Thierry lui donne beaucoup de conseils ; il est lui-même dominateur et il l’encourage à me soumettre de plus en plus.

Lundi soir, Nadine m’a dit que j’aurais droit à mes deux masturbations hebdomadaires à la suite, comme la semaine dernière. Je connais le mode opératoire, je me suis déshabillé et je me suis mis à genoux par terre dans le salon.
Je savais un peu ce qui m’attendait : un peu plus tôt, après le diner, Nadine m’avait demandé d’aller faire un lavement. Ma séance de ce soir serait assortie d’une sodomie.

A ma grande surprise, Nadine m’a immédiatement saisi le sexe et s’est mise à me branler, très rapidement, jusqu’à l’éjaculation. Puis elle m’a demandé de ne pas bouger et d’attendre sagement ma deuxième masturbation. Elle est allée s’asseoir dans le canapé et a allumé la télé.

Heureusement que l’appartement est bien chauffé parce que j’ai passé 1 h30 nu sur le sol du salon.

Lorsque la sonnette de la porte d’entrée a retenti, j’ai eu un nœud au ventre, d’autant que ma femme m’a ordonné de ne pas bouger. Je vis entrer Simon, que nous n’avions pas vu depuis plusieurs semaines et j’ai compris qu’il était là pour moi.

Ce jeune, rencontré en boite, avait été choisi par Nadine pour la taille impressionnante de son sexe et son côté bi. A l’époque, il n’avait pas hésité à s’occuper de moi. Je compris tout à coup que j’allais sans doute subir une sodomie douloureuse.

Fidèle à ses habitudes, Simon ne m’appelle ni Nicolas ni tite couille ; son truc à lui c’est de me dire « le cocu » ; J’y ai droit toutes les trente secondes.

 Nadine l’a salué et, sans attendre plus, afin de s’assurer que son sexe atteigne une taille respectable, elle s’est agenouillée devant lui, a sorti son engin et s’est lancée dans une superbe fellation. Ma femme est rarement aussi belle que quand elle suce un homme, elle dégage une sensualité fascinante et on n’a aucun doute sur son goût pour la pipe. Après une minute de ce spectacle excitant, ils se sont tournés vers moi et Nadine m’a fait remarquer qu’un homme c’est çà, en se caressant la joue avec ce sexe énorme.

 Simon s’est approché de moi et j’ai commencé à me concentrer pour me détendre le plus possible au moment de l’introduction. J’ai été soulagé lorsque j’ai senti les doigts de Nadine m’appliquer de la vaseline sur l’anus ; j’ai pris cette attention pour une preuve d’amour.
« Tu vas voir comment un cocu prend son pied » a dit Simon en présentant son gland entre mes fesses. Délicat comme à son habitude, il a essayé de me pénétrer d’un coup et m’a fait très mal ; je l’ai repoussé d’une main et me suis couché par terre. Vexé, il m’a posé un pied sur le dos pour me maintenir au sol et a demandé à Nadine d’aller lui chercher la laisse de câline. Il m’a mis un collier au cou, y a attaché une laisse puis m’a fait remettre à genoux. Ma femme me caressait les cheveux, presque compatissante ayant sans doute elle-même quelques souvenirs de sodomies douloureuses. Simon a repris sa pénétration, plus doucement cette fois.

 Pendant ce temps, ma femme a saisi mon sexe et a entamé une nouvelle masturbation. Le problème c’est que j’avais si mal que je n’ai pas eu d’érection. La douleur qui me tenait le ventre et les testicules se doublait de l’étranglement que me faisait subir Simon en tirant sur la laisse chaque fois que je bougeais un peu trop à son goût. Bien membré mais aussi endurant, le pilonnage en règle a bien duré dix minutes.

Nadine s’est agacée de voir mon sexe sans réaction ; elle s’est mise à le presser, un peu comme on trait une vache, me faisant assez mal à son tour. Les commentaires de Simon allaient bon train : « Ton mari c’est une vrai lope …, comme vide-couilles il se débrouille plutôt bien…, s’il était castré on ne verrait pas la différence. » Nadine en rajoutait « C’est un bon mari sauf au pieu…, que veux-tu qu’il fasse avec un outil comme çà…, il est fait pour obéir ». Simon entrait et sortait de mon cul, provoquant des bruits assez désagréables. D’un coup, il a déchargé dans mon ventre en me traitant de petite chienne.
Il ne m’a pas demandé de lécher son sexe, ce que je redoutais un peu et a filé à la salle de bain.

On m’a dit de rester en position comme je n’avais pas été foutu d’éjaculer. Après une rapide douche, il est revenu dans le salon.

 Nadine m’a expliqué que pour la suite, elle allait se mettre nu donc je ne verrai rien ; elle m’a bandé les yeux et ordonné de ne pas bouger. Ils se sont déshabillés mutuellement en se servant de moi comme une table basse pour poser les vêtements (comme par hasard, le slip, la culotte et les chaussettes ont été mis sur ma tête). Ils se sont installés sur le canapé, à moins de deux mètres de moi et ont commencé à se faire du bien ; les bruits m’indiquaient clairement qu’ils faisaient un 69 et qu’ils aimaient çà.

J’ai immédiatement retrouvé mon érection ce qu’a remarqué Nadine qui m’a alors dit : « Allez, branle toi sans rien faire tomber et prends ta deuxième éjaculation ». C’est allé très vite comme vous vous en doutez mais là encore, j’ai reçu l’ordre de ne pas bouger pour les laisser finir tranquillement. Ils sont d’ailleurs partis dans la chambre pour faire l’amour plus tranquillement.

J’ai trouvé çà très long, j’ai entendu Nadine jouis trois fois. Simon n’a pas dormi à la maison ; ils m’ont rejoint pour se rhabiller, toujours en se moquant de moi.

Quand nous nous sommes retrouvés à deux, Nadine m’a testé de nouveau : « franchement, as-tu aimé çà ? » Et là, oubliant la douleur et les humiliations, emporté par une soirée ou l’excitation a été bien plus grande que si je m’étais contenté d’une masturbation rapide et sans émotion, j’ai répondu « oui », acceptant ainsi mon statut d’homme soumis et autorisant ma femme à disposer de moi comme elle l’entend.
Par mayhieu - Communauté : Soumission et appartenance
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