Vendredi 1 mai 5 01 /05 /Mai 00:38

Cela fait trois ans que je ne satisfais plus Nadine, mon épouse de 37 ans, et un an que je ne la touche plus ; après dix ans de mariage, notre relation a changé de nature lors d’une soirée chez des amis où elle a rencontré un homme qui est devenu son amant. Depuis ce jour, elle m’a fait comprendre qu’elle ne m’appartenait plus et que son corps était devenu la propriété de Thierry.


Ce dernier en dispose donc à sa convenance et il a marqué son territoire en lui imposant un tatouage sur chaque sein et un piercing au niveau du clitoris.


Au fur et à mesure qu’elle s’est abandonnée à cet homme marié, elle m’a soumis à ses envies, ce qui lui permet d’être disponible pour lui dès qu’il a une disponibilité. Il n’est pas rare qu’après s’être disputé avec son épouse, il vienne passer la nuit à la maison ; je lui cède alors ma place dans le lit conjugal et rejoins le canapé du salon.


J’ai toujours été par nature assez soumis; elle n’a donc eu aucun scrupule à me présenter très vite son amant aussitôt après leur rencontre. Un peu éméché, je ne m’étais pas rendu compte le soir même qu’elle s’était isolé un moment et avait quitté la soirée avec lui pour aller faire l’amour dans sa voiture. Dès le lendemain elle m’a raconté ce moment en détail et m’a demandé ce que je ressentais. Alors que je lui expliquais que c’était douloureux pour moi, elle a mis la main sur ma braguette ;  en un instant elle avait tout compris ! Bien sur j’avais mal, mais quelle excitation aussi ! Peu de temps après elle l’a invité à la maison et me l’a présenté. Elle l’avait mis au courant de la situation et il n’a ressenti aucune gêne. Le couple c’était eux : tendres baisers, mains balladeuses, mots doux dans l’oreille ; ils se sont assis côte à côte pendant le repas et j’ai vu leurs mains disparaître sous la table à plusieurs reprises. Curieusement je le trouvais sympathique et nous avions une discussion amicale, je n’arrivais pas à le considérer comme un rival.


Nadine a cru bon de m’expliquer très vite la situation :

« tu vois, Nicolas, je tiens plus que tout à notre mariage mais j’ai besoin de Thierry ; si tu acceptes la situation, notre couple n’est pas en danger mais je comprendrais que tu demandes le divorce ».

Il n’était pas question de ça, je ne l’imaginais même pas. J’ai répondu un timide « si tu en as besoin… ».

Sentant que j’allais accepter, elle a enchaîné plus fermement : «Il faut que tu comprennes bien avant de te décider : je suis maintenant avec Thierry, et je refuse la moindre crise de jalousie ».


Puis elle m’a demandé de me déshabiller et de me mettre debout contre un mur ; elle a ensuite amoureusement déshabillé Thierry et il est venu se positionner à côté de moi. La situation était claire : certes son sexe était bien plus gros (mais le mien n’est pas ridicule) mais j’ai tout de suite compris que son torse musclé et imberbe l’avait fait craquer ; plus grand que moi, il avait un corps d’athlète, le rêve pour une femme.


« Maintenant dis-moi Nicolas, si tu étais à ma place, lequel des deux voudrais-tu dans ton lit ? » 

Là encore je n’ai pas trouvé la force de me défendre et j’ai répondu « Thierry ». Je venais d’accepter la situation.

« Alors pour toi ce sera abstinence et obéissance, parfois un câlin avec préservatif, c’est tout ».


Après m’avoir redemandé si j’étais sur d’accepter la situation, ils sont partis vers la chambre, comme s’ils voulaient me tester sans attendre, en me laissant débarrasser la table et faire la vaisselle. Ce soir là je me suis rendu compte de ma nature de soumis : je me suis collé à la porte pour les entendre faire l’amour et après son départ, j’ai vite rejoint le lit pour m’imprégner des odeurs et embrasser tendrement les pieds de mon épouse.


Pendant plusieurs mois, elle a accepté que nous fassions l’amour de temps en temps puis Thierry n’a plus voulu. Depuis un an environ, je ne la touche plus. Par contre elle s’occupe de moi et consacre chaque semaine une dizaine de minutes à me masturber. J’aime ce moment car c’est le seul moment où je sens sa main sur moi : je suis debout, elle attrape mon sexe et le masturbe de manière rapide et régulière jusqu’à l’éjaculation. Le simple contact de sa main me raidit, elle ne se déshabille pas je n’ai pas le droit de la toucher.

Il faut dire que nos rapports sont très codifiés, je sais ce que j’ai le droit de faire et ce qui m’est interdit. Le seul contact qu’elle m’autorise est de poser mes mains sur sa taille pour l’embrasser dans le coup et de lui effleurer rapidement sur les lèvres lorsque nous sommes en famille. Ces moments de tendresse comptent néanmoins beaucoup pour moi, et j’ai beaucoup souffert lorsque j’en ai été privé trois mois après avoir été surpris en train de me masturber.

La masturbation est un problème ; je n’ai pas le droit de le faire mais elle sait que j’aime ça. Elle a trouvé la solution : « Tu vas écrire un journal intime et tu n’auras le droit de te masturber qu’en racontant ton plaisir d’être soumis ».


En ce qui concerne Thierry, il est chez lui à la maison ; lorsqu’il vient, je dois m’effacer aussitôt et, quand on me le demande être à leur disposition.  Nadine, qui est d’ordinaire assez négligée, s’enferme une demi-heure dans la salle de bain avant son arrivée et elle en ressort transformée, élégante et sexy pour son amant. J’aime beaucoup ces situations où, je pense qu’elle le sait, je colle mon œil au trou de la serrure. Je profite alors de sa nudité mais il y a une porte entre nous. Elle se douche, se rase les jambes et la chatte, elle met des bas, parfois un string, parfois rien, un soutien-gorge à balconnet, jupe, talons, chemisier. Puis elle se sèche les cheveux et se maquille. Depuis peu, avant de sortir de la salle de bain, je la vois s’enfoncer un petit plug dans l’anus, elle a donc découvert la sodomie avec Thierry.


A la maison, je dois assumer les tâches ménagères quand il est là car elle veut être entièrement disponible pour lui. Je prépare le repas et range la maison. Ils m’autorisent parfois à rester avec eux et lorsqu’ils ont envie d’être seuls, je dois aller au cinéma ou dans la voiture et ils me fixent une heure de retour.  Je pense que ces soirées sont assez chaudes car il m’est arrivé de retrouver des préservatifs pleins dans la poubelle de la maison or Thierry n’en met pas quand il est avec elle. Pas plus tard que la semaine dernière, il y avait 4 verres dans l’évier quand je suis rentré. Imaginer que ma femme a plusieurs partenaires me rend fou d’excitation mais elle refuse de m’en parler.


De manière générale, ils m’associent peu à leurs ébats sans pour autant se cacher : je n’ai pas le droit de rentrer dans la chambre et je dois là aussi me contenter du trou de la serrure ; par contre, alors que nous sommes parfois tous les trois sur le canapé à regarder les informations à la télé (Thierry et moi assis à chaque bout du canapé, Nadine allongée, la tête sur ses jambes, les pieds sur les miennes), elle n’hésite pas faire une fellation à son amant pendant que je lui caresse tendrement les pieds.


 Elle ne me raconte pas ce qu’ils font au lit et n’accepte pas de questions. Je pense qu’elle s’amuse à me laisser reconstituer un puzzle qui me fait fantasmer. Et cela marche : combien de fois j’ai fouillé les poubelles en quête d’indices sur leurs soirées ! Je vais jusqu’à sentir le sperme restant dans les préservatifs pour savoir combien de partenaires  ont pénétré mon épouse. Elle a l’air très  heureuse depuis que Thierry s’occupe d’elle.


Thierry est d’un tempérament dominateur et bien que nous nous entendions plutôt bien, il souhaite que Nadine intensifie sa domination sur moi.

Par mayhieu
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