Vendredi 21 août 5 21 /08 /Août 23:49

               En effet, le soir même, le jeune prénommé Marc nous rejoint à l’appartement avec une forêt noire pour le dessert. Puis ils partent marcher pour digérer pendant que je fais la vaisselle.

A leur retour, je suis convoqué à la table du trio pour recevoir les nouvelles consignes. Dorénavant, à la maison, je serai nu en permanence tandis qu’eux seront habillés. Je laisserai la banquette à Marc pour la nuit et dormirai par terre sur une couverture. Pour montrer à ce dernier que cela ne pose pas problème et qu’il est le bienvenu, je dois immédiatement lui faire une fellation complète.


Marc s’approche, je me mets à genoux devant lui et nous voilà partis. Cette fellation m’a été très désagréable ; je ne sais pas comment Marc se comporte avec ses copines mais visiblement, son plaisir est d’enfoncer le sexe le plus loin possible dans la bouche ; j’ai cru qu’il allait me rendre malade ; il me tient la tête et me pilonne sans ménagement ; je me fais la réflexion que c’est une chance qu’il n’aie pas un sexe de vingt centimètres. Les quelques fois où j’ai sucé Thierry, c’était beaucoup plus agréable mais après tout … on n’est pas là pour mon plaisir à moi. Le sexe n’est pas très gros mais les couilles sont bien pleines et lorsqu’il éjacule en me tenant la tête pour maintenir son sexe bien au fond, c’est comme une explosion ;  je m’étouffe, du sperme est expulsé de ma bouche, et j’ai tout le mal du monde à avaler tout ce que j’ai dans la bouche tandis que Marc se retire dans un râle de satisfaction. Fier de moi  d’avoir tout avalé, je me retourne vers Nadine qui, au lieu de me féliciter, me tourne une gifle en me disant que si elle a changé son mari en esclave, ce n’est pas pour que celui-ci dégueulasse la moquette. Il y avait du sperme un peu partout autour de moi et j’ai du le lécher jusqu’à laisser place propre avalant quantité de poils de moquette au passage.


 Notre petit appartement comportant une seule pièce, ma présence devient une gêne pour leurs ébats. Ce n’est pas la première fois que je suis présent pour entendre mon épouse prendre du plaisir mais c’est en général sur de petits moments puis on me renvoie au garage.

Lorsque vers 23 heures ils décident de prendre du bon temps dans le lit, Thierry me met un bandeau sur les yeux et m’ordonne de me tenir debout dans un coin jusqu’à nouvel ordre. Cette situation, excitante au début, tourne vite au calvaire ; j’entends Marc et Thierry s’occuper de Nadine pendant plus de deux heures ; la fatigue et la douleur m’envahissent. J’ entends Nadine s’éclater, je ne saurai dire combien d’orgasmes elle a.


Quand ils font une pose, Thierry explique la situation à Marc, celle d’une épouse insatisfaite, qui avait eu un orgasme en dix ans jusqu’à leur rencontre. Même si je sais que ce n’était pas vrai, je souffre d’entendre Nadine confirmer que j’avais plein de qualités mais surement pas celles qu’on attend d’un homme. A partir de ce moment, Marc s’est montré insolent avec moi, disant que des gars comme moi devraient être castrés, ce serait dans l’ordre des choses, il commence lui aussi à m’appeler tite couille. Quoique j’apprécie de constater que cet inconnu met un préservatif pour s’occuper de ma femme, cela a un inconvénient de taille, c’est qu’il prend plaisir à venir le vider dans ma bouche en me traitant de bonne salope. Cela s’est produit 8 fois sans mentir. Je ne sais pas quelles sont ses habitudes sexuelles mais je suis surpris à chaque fois de la quantité de sperme dans le préservatif.


Ce Marc, je ne l’aime pas. Nadine a pourtant l’air de beaucoup l’apprécier, au point de lui offrir son cul, un cul magnifique auquel je n’ai jamais eu droit. Au cours de leurs ébats, ils ont pris une position plus difficile qui a fait jouir Nadine très fort, mais je n’ai pas réussi à savoir si elle avait une queue dans la chatte et une dans le cul ou les deux dans la chatte.


Deux heures de baise intensive, je le sais car j’ai entendu Marc dire qu’il était une heure du matin, puis des bruits de douche, un long moment de caresses et d’embrassades dans le lit, puis plus rien pendant un long moment.

M’auraient-ils oublié ? Je ne supporterai pas de passer une heure de plus debout, la nuit j’imagine même pas. Puis la délivrance, le bruit de la chasse d’eau, des pas qui s’approchent et la voix de Marc qui me chuchote à l’oreille :

« Ils se sont endormis, on a failli t’oublier salope, tu veux retourner à ta couverture ? » Je ne l’aime pas mais il me délivre et j’ai répondu «oh oui, s’il te plait ». C’était une erreur, ce mec est un sadique : « D’où tu me tutoies, chien ? ».

Il me prend alors les tétons entre deux doigts en prenant soin de me faire très mal et me met au sol. Il m’attrape les cheveux et me fait lécher ses pieds, puis ses aisselles, puis son cul et pour terminer il me fourre de nouveau son sexe dans la bouche et me prévient : « Une goutte par terre et tu dors debout ! ». Je dois alors subir une nouvelle fellation brutale et angoissante : je suis à l’écoute de ses gémissements, de ses spasmes, pour ne pas me faire surprendre et sentir son éjaculation arriver. Par bonheur, il a envoyé la sauce avec le sexe un peu en retrait et non au fond de la gorge, ce qui m’a permis de bien refermer mes lèvres sur son sexe et de tout avaler, en laissant juste couler un peu sur mon menton que j’ai récupéré par la suite. Sans un mot, il m’a pris par les cheveux, m’a couché sur la couverture et m’a enlevé mon bandeau.


Nadine et Thierry s’étaient effectivement endormis, elle sur lui, son sexe en elle, ma femme était très belle. 

Par mayhieu - Communauté : Soumission et appartenance
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