Jeudi 21 mai 4 21 /05 /Mai 00:04

Thierry est arrivé à 20 heures accompagné de Gaël, un homme brun d’une trentaine d’années, grand et maigre, moustachu, au regard sévère. Il m’a salué d’un signe de la tête et à fait un baisemain à ma femme. Thierry et Nadine se sont embrassés fougueusement, je suis allé servir l’apéritif.

 

Thierry avait un costume sans cravate et mon épouse avait mis une robe moulante rouge et des talons. Gaël n’était pas là pour se parler de la pluie et du beau temps, nous sommes vite entrés dans le vif du sujet.

C’est Thierry qui a pris l’initiative : « J’ai contacté Gaël  à la suite d’une discussion avec lui sur internet ; c’est un dominateur qui habite près d’ici et je lui ai demandé s’il voulait bien te former et nous aider à faire de toi un bon soumis ; Nadine ne sait pas toujours comment s’y prendre et moi non plus. »

Il a poursuivi : « Notre but est que tu puisses développer ta nature d’être inférieur et obéissant, pour ton plaisir et pour notre bien-être »

Mon inquiétude ne faisait qu’augmenter, je ne voyais pas en quoi j’avais besoin d’un prof pour être aux pieds de ma femme.

Encouragée par les deux hommes, Nadine a enfoncé le clou : « Tu n’es pas un bon coup au lit, ton sexe ne me fait pas rêver, tu es bien quand tu ne fais pas de bruit et que tu rampes à mes pieds alors comme ce week-end tu as trouvé que ce n’était pas assez, on a décidé de passer à la vitesse supérieure ». « Mon petit mari, on va s’occuper de toi » a-t’elle ajouté affectueusement.

Puis le ton a changé. « Tite couille au pied ! ». « Ta vie sera désormais consacrée à me servir et me vénérer, y es-tu prêt ? » .

« Oui Madame » ais-je répondu.

Nadine s’est tournée vers Gaël et l’a remercié de son aide : « Tu obéiras sans discuter aux demandes de Maître Gaël qui se chargera de ton éducation de soumis, c’est compris ? »

Je ne trouvais pas la force de dire non et sans savoir même à quoi je m’engageais je répondis « Oui Madame ».

« Oui quoi tite couille ? »

« Oui j’obéirai sans discuter aux ordres de Maître Gaël »

Mon nouveau Maître a alors pris la parole : « Pour moi vous êtes un esclave ; nous nous sommes mis d’accord avec Nadine et Thierry sur les objectifs à atteindre avec vous et les limites de l’éducation que vous recevrez, mais il faudra respecter les règles qui seront fixées :

Il a arrêté ses explications puis a pris un ton solennel :

« Nicolas, es-tu prêt à devenir le serviteur de ta femme, l’esclave de ses moindres désirs ? »

« Oui » ais-je répondu.


Le repas qui a suivi a été spécial pour moi, Gaël et les deux amants ont fait connaissance ; ils pont beaucoup parlé de moi comme si je n’étais pas présent. Gaël a expliqué qu’il est un dominateur amateur, qu’il n’a pas trop l’habitude. Ils ont parlé de ce qu’ils souhaitaient pour moi, m’amener à la docilité, pas de SM, humiliation à volonté, respect de ma vie professionnelle et familiale…. .


Après manger Gaël m’a fait mettre nu pour inspecter en détail son élève. « Tu mérites bien ton surnom de tite couille ». Puis il m’a fait asseoir sur une chaise et m’a attaché avec de la corde de cuisine. Il m’a posé deux pinces à linge sur mes bourses et s’est amusé à tirer dessus. Mes cris de douleur ont eu l’air de lui déplaire mais il n’a pas insisté.

« Ta femme et Thierry prennent leur pied ensemble. Tu dois en être bien conscient et pour cela, tu vas les regarder faire. Regarde sans baisser les yeux et tu pourras peut-être faire leur toilette intime ».

« Oui Maître » m’a-t-il fait répondre.


Les amants se sont installés sur le canapé, face à moi, et ont commencé à s’embrasser ; pendant dix minutes ils ont mélangé leurs langues, je bandais comme jamais. Puis ce fut un long 69 pendant lequel ils gémissaient tous les deux. Nadine suçait avec gourmandise ce beau sexe. Pendant plus d’un quart d’heure, Thierry a pris ma femme, la mettant dans un état de transe que je ne connaissais pas. A plusieurs reprises, Maître Gaël a fait dire à Nadine  que jamais je n’avais été capable de lui donner du plaisir, que Thierry est un vrai homme, qu’elle aime sa bite bien dure.

Je n’ai pas baissé les yeux, je n’en avais pas envie, fasciné par le spectacle qui se déroulait devant moi.

J’ai du demander à plat ventre devant ma femme en lui embrassant les pieds en signe de soumission l’autorisation de faire la toilette du sexe qui lui avait fait tant de bien.

J’ai alors pu lécher le gland de Thierry, avec moins de gène qui la première fois.

Par contre je n’ai pas pu approcher ma femme. Maître Gaël m’a expliqué que pouvoir toucher le sexe de mon épouse est un grand honneur pour un sous-homme comme moi, que cela se mérite et n’arrivera pas souvent.

Pour finir la soirée, Maître Gaël m’a ordonné d’aller remplir mon blog puis il nous a quitté. J’ai dû me mettre à genoux devant lui ; en me tenant la nuque, il a appuyé ma figure sur sa braguette puis il m’a repoussé du pied.

 

Depuis que j’écris ce rapport, j’entends Nadine et Thierry qui se font du bien dans la chambre conjugale. J'aime la sentir heureuse.

Ma place sera sur le canapé cette nuit.

Par mayhieu
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