Mon histoire; Nicoculas, cocu épanoui
Ce
Marc, je ne l’aime pas.
J’y ai pensé une bonne partie de la nuit. Je ne suis pas homo. Il m’arrive de satisfaire Thierry pour le bonheur de ma femme et parce que j’accepte ma soumission à ce couple mais je sens bien qu’au fond ils ont de la sympathie pour moi (Nadine est parfois très tendre). Mais Marc me méprise, il se défoule sur moi et je ne sais pas jusqu’où ça peut aller. Devrais-je en parler à ma femme ? Thierry et elle ont-ils fait exprès de le laisser s’occuper de moi hier soir ? Je ne sais pas quoi faire.
Comme tous les matins, le réveil de mon téléphone sonne à 6h30. Je dois être sur que tout soit prêt à leur réveil, petit déjeuner et la presse du matin. Je sors faire les courses.
A mon retour, tout le monde dort encore. J’en profite, chose interdite, pour
aller me caresser dans les toilettes, une éjaculation, la première depuis notre arrivée, c’est toujours ça de pris, j’en avais très envie.
Marc se réveille en premier et les brimades se poursuivent. Les insultes viennent
naturellement chez lui. Sa dernière lubie, c’est que je tienne son sexe pendant qu’il urine, il dit que ça convient bien à une lope comme moi. Et bien sur, sans surprise, j’ai dû nettoyer son
sexe à la fin. Comme l’effet de ma langue sur son gland n’a pas tardé à se produire, nous voilà parti pour une nouvelle fellation, de bon matin, à jeun.
Cette nouvelle séance de pilonnage intensif réveille le couple qui vient assister et pense que j’y prends goût. Pour augmenter le plaisir de Marc, Nadine encore nue s’approche et se met à lui passer des coups de langue dans le cou, sur les oreilles, sur le torse. Marc roucoule de plaisir et éjacule avec cette expression savoureuse : « vas-y salope prend tout ce bon yop » ; En plus c’est un poète !
Les femmes sont décidemment plus fines que nous. A plusieurs reprises pendant
la fellation, mon regard a croisé celui de Nadine et elle a compris que les choses allaient trop loin pour moi. Elle en a parlé par la suite à Thierry et, comme par miracle, le beau Marc n’est
plus réapparu.
Je veux voir dans sa démarche une preuve de l’affection qu’elle a pour moi. Le lendemain elle me confiera que j’étais très beau, soumis et obéissant de la sorte mais que j’avais raison, ce Marc est une brute.
Mes rapports avec ma femme me comblent en ce moment ; je sens qu’elle tient à moi, elle se confie parfois comme elle ferait avec une copine, me dit ce qu’elle aime chez Thierry, ce qu’elle aimerait voir changer. Elle me dit qu’elle est heureuse. Dimanche soir, ils sont sortis et elle a pris beaucoup de plaisir en se faisant caresser sur un parking. Elle est étonnée de faire tout ça mais y prend un plaisir immense et elle est folle amoureuse de Thierry qui lui permet d’explorer ses fantasmes. Elle me dit aussi qu’elle aimerait qu’il quitte sa femme mais qu’elle n’y croit pas beaucoup. Ce rôle de confident me comble, m’excite, me fait souffrir, tout à la fois. Elle n’oublie pas son rôle de dominante et pendant cette semaine, elle s’est souvent confiée en me caressant la tête, pendant que je lui léchais les pieds.
Dommage... moi à ta place je l'aurais kiffé ce Marc. Le genre de mec à qui ma femme m'aurait donné comme esclave, mon rêve...